Outsiders: Sergeant Paper

Source: Sergeant Paper

Le Vendredi 26 Octobre 2012 à 17h, Lek (French Kiss, Gns, Lca, Raw, 1984), Dem189 (Lbd, 90Dbc, F1…) et Sowat (Da Mental Vaporz) signeront chez Sergent Paper leur premier Print fait a six mains, en bleu, en blanc et en rouge.

Pourquoi le drapeau Français? Parce qu’il leur appartient, qu’il souligne un malaise, qu’il est le seul vrai point commun de ces fils de Polonais, de Libanais et d’Américains mais aussi et surtout, parce que son code couleur permettra à ces trois artiste
s autodidactes issus du Graffiti, de cadrer la furie abstraite qui a fait leur marque de fabrique

Ce sera également l’occasion pour Sowat et Lek, auteurs du Mausolée, de signer des copies de leur livre et faire un premier bilan, six mois après la sortie du projet, par le biais d’une installation éphémère de deux jours, mêlant fils, scotchs colorés, maquette et des Polaroïds du temple vandalisés.

Titre: Bleu Blanc Rouge
Artistes: Lek – Dem – Sowat
Technique: Print sur Papier Fine Art Inova 210gr. à bords frangés
Edition limité à 50 exemplaires
50 x 70 cm Numéroté et Signé

Available here: http://eshop.sergeantpaper.com/fr/print/604-bleu-blanc-rouge.html

 

Outsiders: Come MP

Source: Come MP

For his ‘Street Vitrine’ project, Come MP asks graffiti writers, most of which he’s never met, to draw on small cardboard store shutters he then places in urban environment models he builds himself. After over a year and a half of work, he has already built about 15 of these models in collaboration with artists like Bom.k, Gris1, Tilt, Réso, Poné, Hobz of the Trbdsgn, Darkelixir… He’s currently putting together a first exhibition in Caen, France, to show them in january 2013. He then wishes to expand his collection and organize a second show in Paris also in 2013.

A year ago, Come sent me one of these wooden small scale shutters, which I sent him back six months later, right after the release of the Mausoleum project. Then no news for months… until he sent over the following pictures. During 40 long hours, spread on a two week period, Come meticulously created a small scale model of the Mausoleum, using cardboard, recycled plastic, a potato string bag, branches, milliput paste, acrylic paint, gouache and poscas. For his 32″ by 18″ by 5″ model to be as close as possible to reality, Come used the pictures pages 17 and 151 of the book, edited by the Editions Alternatives. Since he didn’t know Keag and Sore, he chose not to reproduce their paintings…

To contact Come: benjaminaffagard@gmail.com

Dans le cadre de son projet ‘Street Vitrine’, Come MP demande à des graffeurs qu’il n’a, pour la plus part, jamais rencontré, de dessiner sur des petits stores en carton qu’il place ensuite dans des maquettes d’environnement urbain qu’il fabrique lui même. Après plus d’un an et demi de travail, il a déjà réalisé une quinzaine de ces maquettes en collaboration avec Bom.k, Gris1, Tilt, Réso, Poné, Hobz des Trbdsgn, Darkelixir… et compte organiser une première exposition pour les montrer à Caen en Janvier 2013. L’idée ensuite sera d’étoffer sa collection pour organiser une seconde exposition à Paris courant 2013.

Il y a un an, Come m’a donc envoyé un de ces stores pour que je travaille dessus. Je lui ai renvoyé six mois plus tard, quelques temps après la sortie du projet Mausolée. Puis plus de nouvelles pendant des mois… jusqu’à ce qu’il me fasse parvenir les photos qui suivent. Pendant 40 heures, étalées sur deux semaines de travail, Come à donc minutieusement recrée une maquette du Mausolée, à l’aide de carton bois, de plastique récupéré, d’un filet de pomme de terre, de branches, de pâte milliput, d’acrylique, de gouache et de poscas. Pour que ce modèle réduit de 80cm de haut, 45cm de large et 12cm de profondeur soit le plus fidèle possible à la réalité, il a utilisé les photos des pages 17 et 151 du livre, sortie aux Editions Alternatives. Comme il ne connait pas Keag et Sore, il a préféré ne pas reproduire leurs peintures…

Pour contacter Come: benjaminaffagard@gmail.com

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Outsiders: lepublicnme

Source: le publicnme

My first contact happened on the web, with the few images announcing the project.
Following came the movie, mixing syncopated visuals to delicate music.
Finally, meeting the project’s instigators finished to spark my curiosity: I had to go visit this place.
The next week-end, I then found myself with a friend, climbing and wandering from one room to the other.
The second I stepped back outside, my eyes screwed up by the sun, i had only one idea in mind… to come back!
Flash forward to a week later, i was back inside, on my own this time.
I had a strong urge to expose film, silver film could only go well with such a spot, left silent for years and brought back to life thanks to the devotion of a small group of enthousiasts.
Immersed in this half light, cradled by the muffled sound of the freeways and the streets, the whole morning rushed by, without a notice.
This spot is beyond anything I’ve seen in the past, beyond industrial ruin, beyond graffiti, beyond contemporary art. For me, it’s one of the strongest artistic experience I’ve had these last ten years.
Here’s a selection of pictures from these two visits.

Mon premier contact s’est fait par le net et les quelques images annonçant le projet.
Dans la foulÈe le film s’est offert, entre syncope visuelle et délicatesse musicale.
Enfin, la rencontre avec les instigateurs du projet n’a fait qu’accroitre ma curiosité, il fallait que je voie ce lieu!
Le week-end suivant, je me retrouvais donc avec un ami, escaladant, déambulant de salles en salles.
A peine ressortis, les yeux plissés par le soleil, une seule envie… y retourner !
Et hop une semaine plus tard, j’y étais de nouveau, en solo cette fois.
Une sérieuse envie d’exposer de la pellicule, l’argentique collait bien dans ce lieu, en silence depuis plusieurs années, il revivait grâce à la dévotion d’une poignée de passionnés
plongé dans ces clair-obscur, bercé par les bruits ouatés du périf et des passants, la matinée, sans demander son reste, a filé.
Ce lieu est au-delà‡ de tout ce que j’ai pu voir dans la passé, au-delà de la friche industrielle, au-delà du graffiti, au-delà même de l’art contemporain. Probablement pour moi, une des expériences artistiques les plus marquantes de ces 10 dernières années.
Une sélection de clichés réalisés lors de ces 2 visites

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Insider View: Thias Part 12 : Extinction des Lieux

Source: Thias

Le Mausolée expire dès l’instant qu’il respire.
Derniers jours d’une aventure qui s’étire. Porter sa croix jusqu’au sommet. Jusqu’à la fin d’une usante pénitence… Dans un timing millimétré, celer le tombeau à coups d’extincteurs. Respirer…
Une bouffée d’air en guise de gerbe funéraire.

 

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Cedre / Secours Catholique

Source: La compagnie des choses

Message: For Lek and Sowat, hoping that this message will reach you directly.

I’ve just finished reading ‘Mausoleum’ – my boyfriend, a hip-hop fan, just received it for his birthday. Surprise: A book talking about a supermarket and migrant populations i know (too) well…

At the 23rd of the Commanderie Boulevard, a few meters away from the temple, lies the CEDRE’S prefab. It’s one of Caritas France centers, dedicated to migrants and refugees. The Center mostly helps with administrative processing to obtain French residency, it is not a shelter. It also offers french and computer classes as well as other activities.

During three years, I supervised there a theater and puppet workshop for adults from all over the world. Being myself an immigrant’s daughter, I’ve lived an extraordinarily rich human experience with them.

Before it was shut down (around early 2008 if my memory is correct), we would go with my students in the supermarket to get the material we needed too build puppets and theater accessories. Every once in a while we would also buy things to improvise a snack or a meal. We knew the guys from security: most of the time, when my students went there on their own, they wouldn’t let them in. When we went there together, there never was a problem. It made us laugh.

As everyone knows, living conditions for people seeking french asylum greatly downgraded during our former president’s term. As helpers, the difficult question of finding rooms in housing shelter, was at the core of all our worries. Each month, their number decreased. Some of my students didn’t even want to tell me where they managed to sleep…

I met these destinies, mostly men, groping their way into the darkness, fleeting shadows, unbearable pains, unthinkable life stories. Some finally obtained their green cards, got married, had children. Others disappeared, became insane or committed suicide.

I saw in your book a fascinating artistic endeavor, a scream  of outrage but also a tribute to all those who spent, if only a night, on those fucking mattresses lying amidst the parking’s floor.

I was touched knowing that you’ve transformer this place, that you made it your own, for yourself, for them, for your readers.

So thank you, a huge thank you et maybe we’ll see each other one day – today, we live in Lille. There’s no shortage of work here, for writers that love painting in industrial ruins!

LineC

Message: Pour Lek et Sowat, en espérant que ce message vous parviendra directement.

Je termine à l’instant la lecture de Mausolée – mon mec, porté culture hip hop, vient de le recevoir pour son anniversaire. Surprise : un ouvrage consacré à un supermarché et à des habitants en transit que je connais (trop) bien…

Au 23 boulevard de la Commanderie, à quelques mètres du  Temple, se dresse le préfabriqué du CEDRE. C’est un centre du Secours Catholique, dédié aux personnes migrantes et aux réfugiées. Le centre aide surtout pour les démarches administratives liées à l’obtention de papiers, ce n’est pas un foyer. Il propose aussi des cours de français, d’informatique, ainsi que des activités.

Durant trois ans, j’ai  donné là-bas à des adultes de toutes origines des ateliers de théâtre et de marionnettes. Moi même fille d’immigrée, j’y ai vécu une expérience humaine d’une richesse extraordinaire.

Dans ce supermarché et avant sa fermeture (je dirai début 2008, si mes souvenirs sont bons), nous allions, avec mes élèves,  chercher des matériaux pour fabriquer des marionnettes et des accessoires de théâtre.  De temps en temps, on prenait aussi de quoi improviser un gouter, un repas. On connaissait le mec de la sécurité : quand mes élèves y allaient seul, ils ne pouvaient pas toujours rentrer. Quand on y allait ensemble, ça passait toujours comme une lettre à la poste. Ca nous faisait marrer.

Comme chacun sait, durant le quinquenat de notre précédent président, les conditions de vie des personnes demandeuses d’asile se sont fortement dégradées. La question des places en foyer d’hébergement était au centre de nos préoccupations d’aidants. Chaque mois, leur nombre diminuait. Et certains de mes élèves préféraient de pas me dire où ils dormaient…

J’ai croisé ces destins, des hommes surtout, avançant à taton dans le noir, des ombres fugaces, des souffrances inouies, des récits de vie innimaginables. Certains ont finalement obtenus des titres de séjour, se sont mariés, ont eu des enfants. D’autres ont disparus, sont devenus fous, se sont suicidés.

J’ai vu dans votre ouvrage un travail artistique fascinant, une démarche de révolte, mais aussi un hommage à tous ceux qui ont passé ne serait-ce qu’une nuit sur un de ces putains de matelas à même le sol dans le parking.

Et je suis touchée de savoir que vous avez transformé ce lieu, que vous vous le soyez réapproprié, pour vous, pour eux, pour vos lecteurs.

Donc, merci, un très grand merci, et à une prochaine peut-être – aujourd’hui, on habite Lille, ici pour les graffeurs qui aiment les friches industrielles, c’est pas le boulot qui manque !

LineC

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Glück in Dosen, präsentiert von zwei Taggern in ihrer persönlichen Höhle von Lascaux.

Source: Tracks

Ein ganzes Jahr lang haben vierzig Künstler hier ihre Spuren hinterlassen – angespornt von den französischen Sprayern Sowat und Lek.
Mit dieser “wilden Künstlerresidenz“ haben sie ein Graffiti-Kunst-Denkmal erschaffen, und das mitten in Paris. Getauft haben die beiden das kollektive Kunstwerk “Le Mausolée“, also “Mausoleum“.

Das Mausoleum ist eine Hommage an das Underground-Graffiti, eine Kunstform, die bis heute illegal ist und mit saftigen Strafen geahndet wird. Im Gegensatz zu Street-Art-Werken, die inzwischen sogar in Galerien ausgestellt werden, kann man das Mammutprojekt von Sowat und Lek nicht kaufen. Allerdings gibt es ein Buch und einen Film, der während der stundenlangen Arbeit an den Tags und Installationen entstanden ist. Für den Soundtrack konnten die beiden sogar den minimalistischen US-Komponisten Philip Glass gewinnen.

Apôtre + Lek + Sowat

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A la découverte de la grotte de Lascaux du tag

source: Tracks

Un reportage de Gabrielle Culand

Durant une année entière, sous le regard bienveillant des deux graffeurs français Sowat & Lek, quarante artistes y ont posé leur marque à la bombe. Cette résidence artistique sauvage a fait surgir ex-nihilo un monument dédié au graffiti en plein Paris. Les deux compères ont baptisé cette œuvre collective “Le Mausolée” : un supermarché de 40 000 mètres carrés !

Le Mausolée” rend hommage à la tradition underground du graffiti, qui reste un art illégal, passible de lourdes amendes. Contrairement au street-art, qui s’expose aujourd’hui dans les galeries, l’œuvre de Sowat & Lek n’est pas à vendre. Les seules traces de cette production pharaonique sont un livre et un film réalisé pendant les longues heures de peintures et d’installation. Pour la bande son, Sowat & Lek ont obtenu la précieuse collaboration du compositeur minimaliste américain Philip Glass.

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Le Mausolée, paradis perdus des graffeurs

Source: Brain Magazine

Quelque part dans le nord de Paris il y a un Casino Géant désaffecté de 40 000 mètres carrés. D’abord squatté par des familles immigrées, puis vidé de ses occupants par la police, ce bâtiment avait fini par être muré par la mairie. L’endroit était resté vierge de tout tag jusqu’à ce que deux artistes, Lek et Sowat, découvrent comment s’y introduire subrepticement en août 2010. Ils décident alors d’aller tous les jours sur place pour peindre.

Porte de la Villette, Casino Géant, août 2010. Lek et Sowat ne le savent pas encore, mais ils vont y rester plus d’un an, dans ce supermarché. Au fil de leur virée, ils traversent l’hiver, la nuit, rencontrent un gardien, deux flics, mais reviennent toujours, du lundi au vendredi, fidèles à leur nouveau poste dans cet ancien supermarché qui devient un super atelier de travail. Des murs aux plafonds, en passant par les sous-sols non éclairés, ils peignent des fresques hors-normes et jouent avec les espaces pour composer des décors fracassants, au milieu des fantômes des anciennes familles de squatteurs. La diversité du lieu en termes d’espaces et de surfaces leur permet de mélanger les genres : formes géométriques, linéaires, flèches, lettrages modifiés. On sent dans leurs travaux une totale liberté, une impulsion véloce, un appétit rageur de peindre dans un lieu qui offre toutes les conditions dont un graffeur puisse rêver. Et où les peintures sont respectées. L’endroit est si vaste que Lek et Sowat ne sont pas trop de deux, et décident de faire participer d’autres artistes. Dans ce temple du graffiti, ils invitent une quarantaine de Français à participer, sous condition de ne pas vendre la mèche : le spot doit rester secret. La liste des invités est longue : Apotre, Bims, Seth, Monsieur Qui, Swiz, Jayone… Les têtes d’affiche du tag de France.

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Outsiders: Vitostreet

source: vitostreet

Vitostreet has passionately been covering graffiti and street art in the Parisian area for years. Whenever something interesting is done in the capital, you can be sure he’ll spot it and post it before anyone else on his Flickr account.  A few days after we unveiled the Mausoleum project, he sent us a few pictures and the following email:

I’ve often had the occasion of discovering “spots” taken over by graffiti artists, but I’ve rarely (if ever) been slapped to the face like I was while visiting the Mausoleum. I just wanted to thank you and congratulate you (Sowat) and Lek, as well as all the other artists who took part in the project, for the work you’ve done. A high quality and beautiful work of research, conception and innovation.

A small anecdote:

Publicnme and me were in such a haste that we didn’t really pay attention to the path we followed while entering the supermarket. We should have because 5 hours later, once our visit was over we simply couldn’t find our way out anymore. We spent a good hour searching for the damn hole we’d used to enter the building. An hour can seem short, but when you are in total darkness with only a small torchlight whose intensity diminishes with each passing minute, it can really become stressful…

Vitostreet couvre le graffiti et le street art de la région Parisienne par passion depuis des années. Pas une nouvelle pièce sans qu’il soit au courant et la publie sur son compte Flickr avant tout le monde. Quelques jours après la sortie de Mausolée, il nous a fait parvenir ces images et ce mail :

“J’ai souvent eu l’occasion de découvrir des « spots » investi par des artistes graffeurs, mais j’ai rarement (voir jamais) pris une claque aussi forte que celle reçu dernièrement en visitant le mausolée. Je voulais simplement vous remercier et vous féliciter Lek et toi (Sowat) ainsi que tous les autres artistes intervenants pour le travail que vous avez effectué. Un magnifique travail de recherche et de conception, innovant, captivant et de grande qualité.”

Une petite anecdote :
Dans la précipitation, nous avons Puplicnme et moi pas trop fait attention au chemin emprunté en entrant dans le supermarché. Pourtant nous aurions dû car 5 heures plus tard une fois notre visite terminée nous étions incapable de retrouver la sortie. Nous avons cherché durant environs une heure ce satané trou par lequel nous étions entrés. Ça peut paraitre peu une heure, mais quand vous êtes dans le noir absolu avec comme seule source de lumière votre lampe frontale qui au fil des minutes diminue d’intensité cela devient plutôt stressant.

Sambre + Lek

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Insiders View: Alëxone part 2

Source: Alëxone

Alëxone watched too many Beastie Boys videos. After spending years looking for an affordable fish-eye, he finally found this 8mm Peleng on the internet for a cool 230 dollars. Two weeks after ordering it, he received a package from Belorussia wish his precious lens wrapped in Russian newspaper and thread. As a service, he agreed to come to the Mausoleum’s show a second time to take more pix of the installation we put together with Dem189, Swiz, Philipe Baudelocque, Mr Qui, Hobz and Honda from the TurboDesign, Seb174, Legz, Sirius and Saten. All the objects, letters and documents shown here were taken from inside the Mausoleum.

Alëxone a regardé trop de vidéos des Beastie Boys et de skate. Aprés avoir passé des années à chercher un fish-eye abordable, il a enfin réussit à trouver ce Peleng 8mm sur le net pour 230 dollars. Deux semaines aprés l’avoir commandé, il reçut son objectif depuis la Biélarossie, empacketé dans du papier journal russe et de la ficelle. Comme un service, il est venut une seconde fois dans l’exposition Mausolée pouir photographié les installations que nous avions faite avec Dem189, Swiz, Philipe Baudelocque, Mr Qui, Hobz et Honda des Turbo Design, Seb174, Legz et Sirius et Saten des 156. Tous les objets, documents et matèriaux montrés ici ont été ramenés du Mausolée.

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Outsider: Man – Art is Life

Source: Man – Art is Life

Man – Art is Life is way more patient than we are. All the mural joiners we never had the time or the courage to do, he did them, even the walls we painted in the darkest corners of the building. Here are some of the joiners and photographic collages he brought back from the Mausoleum.

Fléo + Swiz + Lek + Sowat

L’outsider + Swiz + Boyane + Lek

Man – Art is Life est plus patient que nous. Tous les montages de fresque que nous n’avons jamais eu le temps ni le courage de faire, il les a fait, que ce soit à l’air libre ou dans le noir le plus complet. Voici quelques uns de ses montages et collages photgraphiques ramenés du Mausolée.

Dem189

Lek + Sowat

Apotre + Lek + Sowat

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Outsiders: Ecraz + Friends

Source: Ecraz

Towards the end of the project, we decided to take a break before painting the building’s roof. For three months, we stopped going to the abandoned supermarket. When we returned, we discovered that a few writers had found the access inside the buildings as we discovered the tags and murals left behind them by Sinje, More, Rayoz, Manta and Ecraze. Luckilly, they had chosen to respect the spot…

Ecraz

Vers la fin du projet, nous avons décidé de prendre une pose avant d’attaquer le toît du bâtiment. Pendant trois mois, nous avons arrété de nous rendre dans le supermarché . A notre retour au printemps, nous avons découvert que d’autres graffeurs avaient trouvés l’accés à l’intèrieur du bâtiment en découvrant les tags et les murs peints laissés derrière eux par Sinje, Mor, Rayoz, Manta et Ecraz. Luckily, they had decided to respect the spot…

Ecraz

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Outsiders: Space Invader

Source: Space Invader

One evening of February 2011, Space Invader took this picture of Lek and me as we were exiting the Mausoleum. Back then, he didn’t know who we were and therefor had no idea what we’d been secretly doing inside that building for months. At the precise moment he took that shot, we were only two stangers for him, stuck in his camera’s lense. The night before, he had pasted on the abandoned supermarket his signature UFO’s with red,orange and blue mosaic tiles. As always, he had chose a strategic location, targeting one of the building’s exterior walls facing a perpetually busy freeway ramp. He was absolutely right. Everyone would drive by it and see it. Without knowing it, he had just endangered our ‘project’.

From the beginning, our biggest fear was to see the spot fall, that other writers or photographs could find it and destroy or spread what we were preparing inside.
After Keag and Sore from the RAW crew, Invader was the second uninvited guest to do something on the building’s facade, hence making it more ‘visible’ to eyes used to looking for that type of place… With each new day, it was becoming more urgent for us to finish whatever it is that we had started.

The next day, when he came back to take pictures of his mosaic, we bumped into him as we were leaving the Mausoleum. Lek knew him for having met years before at one of Seb174 friend’s party near Bastille. Invader didn’t recognize him though and didn’t seem to appreciate that two strangers, coming out of nowhere, could call him by his stage name in the middle of the street, in front of everybody. Slightly defensive, he told us he wasn’t Space Invader but his assistant and that he was here just to take pictures… Both skeptical and amused, we shortly ended up leaving him alone and woke our separate ways. For months, we laughed when reminiscing of the encounter, hesitating to mention it in our book. As if he was one of our guests, we added his name to the movie’s final credits.

Two weeks after the Mausoleum’s exhibition opening, Invader’s news book, The Invasion of Paris 2.0, came out. In it, he documents the final stages of his Parisian invasion, thanks to 1400 pictures.Page 58-59, as he is photographing his 911th Invader pasted on the capital’s walls, two strangers are walking in his direction. In the top right side of the image, he added the following text:

 “PA_911 / Burning 911
I spotted this rather out of the way spot when leaving the beltway. The Space Invader going up in flames went well with the apocalyptic look of the place, so i put it there. A few days later, when logging it in my database, I realised it was PA_911

Un soir de Février 2011, Space Invader nous a pris en photo avec Lek en train de sortir du Mausolée. A l’époque, il ne nous connaissait pas. Il n’avait donc aucun moyen de savoir ce que nous faisions en secret, à l’intérieur de ce bâtiment depuis des mois. Au moment de prendre ce cliché, nous n’étions que deux inconnus coincés, dans le champ de vision de son appareil photo. La veille, il était venu coller une mosaïque rouge, orange et bleue sur le supermarché abandonné. Comme toujours, il avait choisi un endroit stratégique, soit un bout de mur extérieur donnant sur une bretelle d’accès au périphérique bondé. Il avait raison. Tout le monde allait passer devant et le voir. Sans le savoir, il venait de mettre en danger notre ‘projet’.

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EGLISE1PIEGE

source: EGLISE1PIEGE

A part les tags qui dénaturent

nos murs et nos trains

il existe des graffitis magnifiques

dans la nature

comme à Palaiseau

Cliquez ICI 

**

ou dans les rues

comme à Paris

cliquez ICI

**

ou dans de nombreuses friches

**

Et voici que Lek et Sowat ont investi

un supermarché abandonné

dans le nord de Paris

et l’ont couvert à leur tour de graffiti

http://www.fatcap.org/article/le-mausolee-de-lek-sowat.html

**

Ce super marché

est devenu ainsi un mausolée

une chapelle Sixtine

de 40 artistes  passionnés

désintéressés

méconnus

rejetés

méprisés

des vrais artistes qui font de l’art pour de l’art

absolument pas commercial

**

Il y a Seth

il y a Dem 189

Il y a   Sowat

des noms qui sentent  le  mystère

Le mausolée de Lek et Sowat  dans Graffiti Lek-et-Sowat5

la mort

la religion

les détritus d’une friche

les couloirs ténébreux

et la  haut ! tout la haut !

un ciel  nuageux

By EGLISE1PIEGE

Outsiders: flobiflickR

Source: flobiflickR

Vision Aspirante

A few weeks ago, flobiflickR contacted us through the site to know how to enter the Mausoleum. A few days later, he sent us these fish-eye and HDR pumped images with and a short text. All of the picture’s titles are his:

Its the story of an abandonned supermarket in the north of Paris, 430,000 sq ft, lifeless, empty, abandonned by our consumer society who went to see elsewhere.

It became the Mausoleum. It welcomed writers, photographers, friends… but no cops. Quickly, the Mausoleum became a savage artistic residence for the writers who, thanks to their talent, gained back a bit of life and colours.

flobiflickR

Arbre

 

Il y a quelques semaines, flobiflickR nous a contacté via le site pour savoir comment entrer dans le Mausolée. Quelques jours plus tard, il nous a envoyé ces clichés, gonflé au fish-eye et au HDR, ainsi qu’un petit texte. Tous les titres des photos sont de lui:

C’est l’histoire d’un supermarché abandonné au nord de Paris, 40 000m², sans vie, vide, délaissé par une société de consommation qui est allée voir ailleurs.

Il est devenu Le Mausolée, il a vu passer des graffeurs, des photographes, des amis… mais pas de policiers. Très vite, le Mausolée est devenu une résidence sauvage pour les graffeurs, qui grâce à leurs talents, a retrouvé peu à peu vie et couleurs.

flobiflickR

 

Cercles

Local Sombre

Salle

Porte Envahissante

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Outsiders: >sÖke<

>sÖke< is just 16. He’s one of the first photographers to go inside the Mausoleum after us. We discovered his work when he published this serie of images on the web. This is what he sent over when we contacted him to share his experience.

>sÖke< n’a que 16 ans. Cest un des premiers photographes à être rentré dans le Mausolée aprés nous. Nous avons découvert son travail quand il à posté cette série d’images sur le net. Quand nous l’avons contacté pour qu’il raconte sa première expédition là bas, voici ce qu’il nous a envoyé:

C’était un lundi. Seulement quatre jours après que l’exposition et les images m’aient tapé dans l’oeil, je partis, seul en touriste non avertis, afin de répérer les lieux. Dès mon arrivée sur les lieux, je rencontra deux personnes qui comme moi étaient très intrigué par ce projet. Mais pour pouvoir le voir, il fallait déjà réussir à y rentrer, ce casse tête explique pourquoi le projet a pu se réaliser sans que d’autres graffeurs s’approprient aussi les lieux. Rentré, la lampe de poche s’impose dans des salles ou résonne en continue le passage des voitures sur l’autoroute située au dessus. On a alors du mal à réaliser que se fut un jour un supermarché, chaque étage, des espaces quasi vides regorgent de poussière. Seul trace de vie, les objets des roumains se retrouvent un peu partout dans l’immensité du lieu. Les joués, les doudous, les matelas et autres peuvent laisser imaginer une expulsion rapide et inattendue laissant après consommateurs et vendeurs, roumains et prostituées le lieu à une troisième population, celui des graffeurs. Maintenant, ce sont eux qui ont donné une vie à ce lieu, marriant à travers un projet des plus original des artistes de toutes générations mais avec la même passion. Ils y créent des formes géométtiques, des formes abstraites, des anamorphoses, loins du graffiti pur et dur. Intelligement, ils ont exploités chaque parties du lieu, lui donnant ainsi une ambiance surnaturelle, dans Paris, qui aurai imaginé un lieu pareil ? En décalage avec l’extérieur, ce “mausolée” a vu la volonté devgrafeurs le redessiner, travaillant longuement cet espace stressant, coupé du monde et inaccessible au grand publique. En tant que spectateur, ce fut pour moi le projet de graffiti le plus imposant que je n’ai jamais connu, pour son lieu et la qualitée de ses oeuvres. Surpris car je ne m’atendais pas à ce qu’un tel projet prenne jour à Paris.

Soke

Jaw

Swiz, Lek

Gris1, Sowat

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Insider View: Thias Part 11 – Les Entrailles (The Bowels)

Source: Thias

Un autre labyrinthe, noir cette fois-ci, se tapit en sous-sol. Dans les entrailles du mausolée. Sur plusieurs étages sombres et opaques…
Certains murs y sont blafards à la lueur de la lampe. Presque apeurés. D’autres suintent et crient. Cramés, noircis. Un tapis de toiles d’araignées brûlées pend de leur plafond.
L’exploration touche aux ténèbres. Les journées sont sans jour. L’odeur de spray stagne dans l’air emprisonné…

Mausolée – Part 11 : SOWAT, LEK, DEM189, SWIZ

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parisART – Livres

source: parisART

Lek, Sowat
Mausolée. Résidence artistique sauvage
Alternatives
Issus de la culture graffiti, Lek et Sowat manient la bombe peinture depuis leur plus jeune âge. Cette monographie nous dévoile l’aventure artistique «Mausolée», gigantesque édifice dédié à la culture underground et soustrait aux yeux de tous pendant près de deux ans, aux portes de la capitale….

Le 12 août 2010, Lek et Sowat ont trouvé un supermarché abandonné dans le nord de Paris, 40 000 m2 de murs vierges répartis sur quatre étages. Des salles immenses et sans fin où des centaines de personnes avaient vécu avant d’être chassées par la force publique du jour au lendemain…

Pendant un an, dans le plus grand secret, les deux artistes se sont rendus dans ce lieu mystique quasi quotidiennement pour y peindre et organiser une résidence artistique sauvage unique en son genre. Ils ont demandé à une quarantaine de graffeurs français et de photographes, issus de la première à la dernière génération du mouvement, de les y accompagner, pour un jour ou une semaine. Ensemble, ils ont créé un mausolée, un temple dédié à leur culture underground en passe de disparaître à l’ère du street art et de son esthétique pop mondialisée. Ce livre se propose de retracer les grandes étapes visuelles de cette expérience hors du commun.

SOMMAIRE

— Parvis
— Parking premier étage
— Parking deuxième étage
— Réserves
— Rez-de-chaussée
— Sous-sol
— Toit

Insider View: Thias Part 10

Source: Thias
Un vestige du mercantilisme tremble sous le périf’. Il grelotte, ouvert aux quatre vents, loin des lustres du commerce. Il n’appâte plus le client…
Brûlé à vif, il abrite ceux qui se terrent. Les exclus s’y cachent, sans papier, sans pays, sans véritable lit. Mais de là aussi, ils en sont exclus…
L’abandon d’un immense tombeau vide ! Un sanctuaire bientôt. Le mausolée d’une culture qu’on enterre et qu’on célèbre, qu’on bénit et qu’on dépasse. Une offrande picturale au temps des grottes modernes.

Part 10 : FLEO, LEK, SOWAT, SAMBRE, BLO, KATRE, OUTSIDE, DEM189
mausolee.net

Obey X Mausolée

source: Butterfly

Thanks to Mehdi Ben Cheik of Gallérie Itinérance and Butterfly, Shepard Fairey and his team were able to take a break from their recent Rise Above Rebel mural in Paris, to stop at the Mausoleum exhibition and visit what’s left of if…

Painting by Honda / Trbdsgn

Sowat – interview

Source: Artistik Rezo

C’est l’une des plus impressionnantes aventures récentes du monde du graff. En 2010, Lek et Sowat investissaient Le Mausolée, ancien supermarché à l’abandon, avant d’y faire venir une quarantaine d’autres artistes. L’expérience a duré plus d’un an, avant de devenir un livre, et un film. Rencontre avec Sowat.

Comment avez-vous débuté dans le graffiti ?

J’avais 15 ou 16 ans. J’en ai vu dans mon quartier, à Marseille. J’ai commencé une nuit, avec des copains, sur une voie ferrée près de l’école. La calligraphie est venue après, mais j’ai toujours fait de la lettre, parce que je ne savais pas dessiner. L’histoire du graffiti, c’est celle de signatures qui ont grossi… J’ai eu plein de petits métiers, et ça fait trois ans que je ne fais plus que ça. En 2010, j’ai rencontré Lek. On a fait un mur ensemble, ça marchait bien. Dès la première peinture, on n’avait pas de problème d’ego, on était à l’aise avec l’idée que l’autre repasse par-dessus ce qu’on avait fait et ainsi de suite. Lek appartient à la deuxième génération du graffiti à Paris. Très vite, il a commencé à aller peindre dans les lieux abandonnés. Il fait partie de ceux dont j’ai suivi les travaux, et qui m’a influencé alors que je ne le connaissais pas encore, en m’incitant à aller peindre dans ce genre d’endroit.

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Lek & Sowat’s Mausoleum

Source: Monorex

Back in 2010 artist Lek found an abandoned supermarket due for demolition just out of Paris, partnering up with artist Sowat the pair decided to make something out of the space…

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The place was tag free and the perfect blank canvas for their “Mausolée” dream. A sponsor-free artist residence operating under the eye of the law in which a selection of artists and photographers were invited to spray, paint and create on what could be considered an artist’s playground.

Although the project has been going on since 2010 news of it was only released in April 2012, to coincide with the release of a book and a film documenting the processes that went into making this mundane complex completely extraordinary.

One of Lek and Sowat’s main desires with the project was that it appeal to those who are not normally interested in Street art and by working with such a huge number of artists (40 painters for 40,000 m²) the sheer variety of styles and pieces means that there is truly something to appeal to everyone.

Who knows what will happen to the Mausoleum in the future now it is opened up to the public. The site could be still due for demolition or it could be preserved as a tribute to the beauty of street art, but whatever the outcome may be for now just enjoy the pictures and video of this amazing project.

If you can read French then check out the accompanying book: Mausolée, Résidence artistique sauvage by Lek & Sowat, Editions Alternatives. Price: 39 euros.

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Mausolée: Unbelievable time-lapse footage of a 430,000 sq ft graffiti art project in Paris

An extraordinary underground museum of graffiti art has been painstakingly assembled in the ruins of a formerly squatted grocery store in the north of Paris. Organized by two artists, Lek and Sowat, forty French artists and crews took over the building after police had cleared the space of its residents.

Sowat told Dangerous Minds:

On August 12, 2010, Lek and I found an abandoned supermarket in the north of Paris. For a year, in the greatest of secrets, we continuously wandered in this 430,000 sq ft monument to paint murals and organize an illegal artistic residency, inviting forty French graffiti artists to collaborate with us, from the first to the last generation of the graffiti movement. Together we built a Mausoleum, a temple dedicated to our disappearing underground culture, slowly being replaced by street art and its global pop aesthetics. Amongst other things, we made a stop motion movie of the whole experience, showing a years worth of work in 7 minutes of high speed sequence shot, a bit like watching Graffiti through the windows of New York Subway system.

To illustrate this movie, we chose Philip Glass’ ‘Opening’ track. When we reached out for permission to use the music, we were offered Mr Glass’ own master of the song, a version that is less known by the public than the track that was put out in the ‘glassworks’ album. We didn’t do this movie for financial reasons, we wanted it to be free and accessible to the most people possible.

The Mausolée space reflects French social, political and human drama today, as few museums or more traditional art spaces could. Due to the nature of the space, people can’t really visit there, so the artists have published a book commemorating their 40,000 m² “mausoleum” of graffiti art as well as posting this gorgeous Koyaanisqatsi-esque time-lapse video of how the project came together.

It’s a knockout.


 

Fatcap covering: Lek and Sowat’s Mausoleum

Source: Chrixcel

In 2010 Lek discovers an abandoned supermarket condemned to demolition. This spot with no tag at all is a godsend and leads to the “Mausolée” project.

The Mausoleum at the time of ‘Immaculate Conception’ – Photo : ClickClaker

Lek & Sowat are the first to invest this place, situated very next to Paris, with some other fellow writers. Very soon they both have the idea to turn it into an artistic illegal residence inside which some graffiti artists and photographers (40 painters for 40,000 m²) will be invited to play a part in the evolution of what will become the “Mausoleum”.

A few months later, a gorgeous book is released (Editions Alternatives), and the secret that was kept so well during all this time is brought to light.

The choice of a French editor was symbolical, says Sowat : « The project took place in Paris, with French artists, in a building which was squatted and cleared out by the police, so in a way it reflected a French social, political and human drama. The traces of life we found inside, the writings on the walls, the abandoned letters and schoolbooks were mostly in French. There was no sense for us to try to convince a foreign editor. As we already knew Alternatives as we worked with them for previous books, we knew they were not the kind of editor to lay a hand on the contents to the detriment of the project”.

Coming out of a meeting at the end of October 2011 with Charlotte Gallimard, Head of Alternatives, things went very fast. After non-stop work, the book was published 6 months later.

The FatCap team also wanted to visit this playground to share with you what can be considered as an authentic underground museum.

A view of the roof with Apotre, Lek & Sowat

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Reportage Fatcap Lek & Sowat : Mausolée, le livre

Source: Chrixcel

Lek découvre en 2010 un supermarché abandonné voué à la démolition. Ce terrain vierge de tout tag est une aubaine et donne lieu au projet “Mausolée”.


Le Mausolée à l’époque de l’immaculée conception – Photo : ClickClaker

Lek et Sowat commencent d’abord à investir les lieux, situés à la lisière de Paris, avec quelques autres graffeurs de leurs crews respectifs. L’idée germe vite dans leur tête d’en faire une résidence artistique sauvage dans laquelle quelques artistes et photographes (40 artistes pour 40 000 m² au total) seront conviés à suivre et participer à l’évolution de ce qui deviendra le “Mausolée”.

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